mardi 24 novembre 2015

Collecte pour la banque alimentaire

Accueil
Chaque dernier week-end de novembre, les Banques Alimentaires sollicitent le grand public pour leur Collecte Nationale. C’est un rendez-vous solidaire durant lequel  des bénévoles de l'association seront présents au carrefour Market pour récolter des denrées . Chaque produit est redistribué dans le département où il a été collecté afin que cette aide « bénéficie » localement aux personnes démunies.
Merci pour votre aide

vendredi 20 novembre 2015

Transport en mini bus



Le vendredi 11 décembre, des adhérents  se proposent d'emmener avec le mini bus mis gracieusement à notre disposotion par la mairie, les personnes intéressées au super marché "carrefour market".

Les personnes seront prises devant la mairie, place de la Madeleine ou au Châtelet puis ramenées chez elle à condition de s'être inscrites avant le mardi 8 décembre à la mairie ou au 06 08 23 17 94.

Profitez en , une participation de seulement 1€ vous sera demandée.

lundi 16 novembre 2015

besoin de vêtements pour les restaus du coeur


Si vous avez des vêtements adultes de grandes tailles ou des chaussures  qui ne vous servent plus, merci de les déposer chez Marie Thérèse, au 6 rue des acacias à Bréal. Nous pourrons ainsi les donner aux restaus du coeur.

dimanche 1 novembre 2015

Notre association met en place un groupement d'achats direct producteurs.

Cela permet de développer une coopération entre consommateurs et producteurs, de créer du lien social et de tisser un réseau d'entr'aide entre bréalais.
Nous pourrons choisir la qualité des produits. Nous privilégions les produits locaux (éventuellement bio), et les producteurs que nous connaissons.
Si vous avez des noms de producteurs à proposer ou des produits que vous recherchez, merci d'envoyer vos avis par mail et d'en parler autour de vous. ( ce n'est pas réservé qu'aux bréalais!)

Les commandes peuvent être envoyées à l'adresse mail (brealsolidarite@gmail.com) ou mise dans la boîte aux lettres du 29 rue de Bruz pour la date limite indiquée.
Les produits pourront être retirés le jeudi soir entre 18h et 19h au 29 rue de Bruz à Bréal.

Cette année, pour rentrer dans ce groupement d'achats, il suffit d'adhérer à l'association en versant un euro et d'accepter de faire en juin 2016 un don correspondant à 7% de vos achats. (Nous vous rappelons que 75 à  66% des dons versés à Bréal solidarité sont déductibles des impôts.)

Producteurs déjà partenaires
Les œufs d'Aline
La ferme d'Aline Métayer se situe à Bréal-sous-Montfort et accueille 600 poules. Elle vous propose des œufs bio certifiés par Ecocert. Les poules ont accès à un parcours arboré où elles se promènent du matin jusqu'au soir. Elles sont nourries avec un aliment bio préparé par la coopérative Edou Breizh. Les six hectares de terre, obtenues l'année dernière sur la commune, sont actuellement en conversion à l'agriculture biologique.
La ferme de La cerisaie à Saint Thurial
Eleveur de chèvres et producteur de fromage, vous pouvez vous informer à cette adresse
Les volailles deBrocéliande
Eleveur de volailles en plein air, vous pouvez vous informer à cette adresse
http://www.lesvolaillesdupaysdebroceliande.fr/
L'étable ronde à Plélan
Eleveur de vaches et producteur de fromage, vous pouvez vous informer à cette adresse
La savonnerie aubergine à Saint Thurial
Laurence Hamon fabrique des savons biologiques, vous pouvez vous informer à cette adresse 
https://drive.google.com/file/d/0B3vYRv9I9w77X3pfRjlOQnRLUGc/view?usp=sharing
Les Vergers de Bernard Ferré
http://www.savourezlabretagne.com/synagri/les-vergers-de-la-ville-etienne 
Le miel de Jean Aubin 
L'entreprise de Jean Aubin installée à Bréal depuis de nombreuses années fournit du miel et des pains d'épices.
Les vins du vignoble Belliard près de Bordeaux
Viticulteur présent chaque année à la foire du Rheu, vous pouvez vous informer à cette adresse
http://www.chateausaintemarotine.com/nos-vins/sainte-marotine-bordeaux
Le champagne Pâtis Paille
viticulteur La Neuville-aux-Larris (Marne), vous pouvez vous informer à cette adresse :







mardi 27 octobre 2015

projection au cinéma La Bobine

Dans le cadre de la 18e édition de la semaine de la solidarité ce film sera projeté au cinéma  La Bobine de Bréal le mercredi 18 novembre à 20h30.
Venez nombreux, vous pourrez si vous le souhaitez participer au débat qui suivra la projection. Une partie de la recette sera reversée à Bréal Solidarité.



transport au supermarché




Le vendredi 6 novembre, des adhérents  se proposent d'emmener avec le mini bus mis gracieusement à notre disposotion par la mairie, les personnes intéressées au super marché "carrefour market".

Les personnes seront prises devant la mairie, place de la Madeleine ou au Châtelet puis ramenées chez elle à condition de s'être inscrites avant le mardi 2 novembre à la mairie ou au 06 08 23 17 94.

Profitez en , une participation de seulement 1€ vous sera demandée.




dimanche 18 octobre 2015

Restos du coeur

Merci à tous ceux qui nous ont permis de fournir 620 kg de produits  pour la distribution de cet hiver. Les dons ont été variés et vont permettre d'améliorer la situation de ceux qui ont besoin de notre solidarité.

jeudi 17 septembre 2015

Nouvelles du Nord Mali



Depuis les évènements d’Anefis, les populations du nord vivent, quotidiennement, dans la peur et l’incertitude. Il ne se passe pas un seul jour où des bandits armés bien « organisés » ne s’attaquent à ces populations vulnérables, dont le quotidien se résume désormais à des braquages, enlèvements, assassinats et autres humiliations. A ce calvaire, s’ajoutent malvivre, difficultés d’approvisionnement, hausse des prix des produits de première nécessité… Bref un véritable enfer vécu au vu et au su des forces internationales dont la mission est d’assurer la protection des civils menacés de violences physiques. A vol d’oiseau entre Goundam et Tombouctou, deux témoignages accablants sur le quotidien de ces populations abandonnées à leur triste sort.
« Nous ne comprenons pas ce qui se passe dans notre pays. La situation sécuritaire est de plus en plus précaire. Il y a toujours trop de braquages sur l’axe Goundam-Tombouctou. Des bandits ou du moins des groupes armés très organisés s’en prennent aux personnes qui osent emprunter ce trajet. Désormais, personne ne prend le risque de quitter Tombouctou pour Goundam sans une escorte de l’armée. Ces escortes partent les lundis, jeudis et samedis sur l’axe Tombouctou-Goundam et une fois dans la semaine sur la route Tombouctou-Douentza… », a affirmé Yaya T, ressortissant de Tombouctou, joint au téléphone.
Pour lui, la situation est grave. Et les populations sont dépassées par les évènements. Dans la cité des 333 saints, l’insécurité dans la région commence à avoir des effets négatifs. Les produits de première nécessité sont de plus en plus rares. Ce qui provoque une hausse substantielle des prix. Les voies d’accès à la région sont à la merci des bandits armés. Du coup, les commerçants et les transporteurs ne prennent plus de risques. Ce sont désormais les trafiquants, ceux qui sont prêts à affronter tous les dangers, qui ont voix au chapitre. Avec eux, les prix ne sont pas contrôlables. Ils agissent en fonction de leurs intérêts. Et ce sont les populations qui payent le prix fort. L’insécurité ambiante a découragé tous les grands fournisseurs de la région. Presque toutes les stations d’essence ont suspendu leurs activités à Tombouctou. Qui est désormais approvisionnée en carburants par des entreprises non identifiées. Le litre d’essence est passé de 650 à 1000 FCFA, depuis la reprise des braquages et enlèvements. C’est pareil pour tous les autres produits qui venaient auparavant de certains pays frontaliers comme la Mauritanie et l’Algérie. « Maintenant que tout nous vient de Bamako seulement, les produits sont devenus très chers… », a précisé notre interlocuteur.
La situation à Goundam n’est pas très différente de celle de Tombouctou. Mohamed Traoré, agent de terrain d’une ONG locale à Goundam, témoigne d’une certaine accalmie dans sa ville. « Tout va bien à Goundam. Mais en dehors de Goundam, les risques d’attaques et braquages sont toujours présents. Même les escortes annoncées entre Goundam et Tombouctou, ne sont pas régulières. C’est pourquoi, les gens ont choisi de changer de trajet pour accéder à Tombouctou où sont faits les salaires et autres activités bancaires. Beaucoup de personnes quittent Goundam pour Diré où elles empruntent la voie navigable (Diré-Tombouctou)… », explique l’agent de terrain. Qui n’a pas manqué d’attirer notre attention sur la rareté de l’argent à Goundam. « Personne n’ose plus prendre de l’argent avec lui sur l’axe Tombouctou-Goundam. Il y a seulement quelques jours, les bandits ont pris 10 millions de FCFA avec un commerçant d’ici (Goundam, ndlr). Désormais, c’est le transfert d’argent avec les opérateurs nationaux qui sauvent un peu les gens. Là aussi, c’est cher. C’est pourquoi les montants transférés, ne sont pas élevés. Et la rareté de l’argent répercute sur la vie des populations, qui n’ont pas assez d’options pour joindre les deux bouts et faire face à leurs besoins élémentaires… », note M. Traoré.

Nouvelles bases rebelles
A Goundam aussi, les prix du carburant et du riz ont grimpé. Le kilogramme de riz est passé de 275 à 350 FCFA. Pendant ce temps, le litre d’essence coûte entre 900 et 1000 FCFA contre 600 et 650 FCFA avant les récents évènements.
Notre interlocuteur a surtout précisé que l’accalmie dont il est question n’est valable que pour la ville et non le cercle de Goundam, qui subit les contrecoups de la crise d’Anefis. Il confirme l’installation de nouvelles bases par les rebelles dans certaines localités, notamment à Koïgoumo (à moins de 20 km de Goundam), à Raselma (à 50 km environ), à Farach, dans la commune d’Essakane (très proche de Bintagoungou (à 45 km de Goundam). Les incessants braquages dans cette partie du Mali sont attribués à ces bases de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et particulièrement celle de Ber. Qui bénéficierait de la protection de la Minusma et des forces françaises. C’est du moins la conviction de nos interlocuteurs et de nombreux maliens. Les populations du nord s’interrogent sur la nécessité de la présence des forces étrangères sur le territoire malien dans la mesure où elles ne parviennent même pas à se protéger, encore moins sécuriser les civils, comme le dit stipule expressément la résolution 2227 dans son point 14 relatif à la protection des civils. La Minusma doit, entre autres, « assurer, sans préjudice de la responsabilité première des autorités maliennes, la protection des civils immédiatement menacés de violences physiques ;
Fournir un appui aux autorités maliennes pour stabiliser les principales agglomérations et les autres zones où les civils sont en danger, notamment dans le nord du pays, en effectuant des patrouilles de longue portée, entre autres choses, et, dans ce contexte, écarter les menaces et prendre activement des mesures pour empêcher le retour d’éléments armés dans ces zones ;
Assurer une protection particulière aux femmes et aux enfants touchés par le conflit armé, notamment en déployant des conseillers pour la protection des enfants et des conseillers pour la protection des femmes, et répondre aux besoins des victimes de violences sexuelles et sexistes liées au conflit… ».

Le gouvernement « ligoté »
Mais sur le terrain, le constat est accablant. L’armée malienne, même agressée, ne peut se défendre contre les rebelles de Kidal. Si ce n’est pas la France qui s’oppose à une avancée des troupes maliennes sur le territoire national, ce sont les casques bleus de la Minusma qui s’interposent. Après l’attaque du check point à la rentrée de Tombouctou, les forces de sécurité du Mali ont été dissuadées par les forces françaises et de l’ONU, de toute poursuite contre les assaillants. N’est-ce pas là une violation flagrante de la résolution des Nations Unies : « assurer, sans préjudice de la responsabilité première des autorités maliennes, la protection des civils… ». Non seulement les civils de Tombouctou, Gao et Kidal ne sont pas sécurisés (en témoignage les braquages réguliers dans des localités où les casques bleus sont présents). Mais le pire, c’est que la Minusma et les forces françaises font de la protection de leurs bourreaux, la raison de leur présence au Mali.
Quant au gouvernement du Mali, il s’est fait « ligoter » en acceptant un accord de paix fait sur mesure et contre les intérêts maliens. Au finish, défendre ne serait-ce que son honneur, est devenu la croix et la bannière. Les récentes déclarations du chef de l’Etat, lors de sa visite au Niger, contre les combattants de Gatia, prouvent l’incapacité des autorités maliennes à assumer leur responsabilité première, notamment la sécurité des Maliens et leurs biens. Et au rythme où vont les choses, on s’interroge : A quand la fin du calvaire des populations du nord ?
Idrissa Maïga
Source: L'Aube

dimanche 6 septembre 2015

Notre place au forum des associations !

Durant le forum, l'association a permis plus de convivialité en vendant des boissons et des crêpes faites sur place ! Bravo à la cuisinière !



Pour cette nouvelle année, l'association souhaite élargir ses actions
  • Transport organisé vers le super marché , les jardins de Brocéliande , le cinéma, la Longère…
  • Aide à des recherches par internet
  • Aide à la rédaction de courriers
  • Partage de compétences en bricolage, cuisine …
  • Achats groupés pour une économie sociale et solidaire






Pour garantir la pérennité de nos actions, vous avez la possibilité de nous faire parvenir vos dons qui sont déductibles des impôts. Le don minimum est de 20€ .

L'association souhaite être à l'écoute des besoins des bréalais et fédérer les personnes qui souhaitent s'investir dans un lien social basé sur la solidarité.
N'hésitez pas à nous contacter si vous avez des suggestions ou si vous voulez nous rejoindre !
Pour tous renseignements complémenatires, vous pouvez écrire à brealsolidarite@gmail.com

jeudi 3 septembre 2015

FORUM DES ASSOCIATIONS

L'association sera présente le 5 septembre au forum des associations et se chargera en accord avec la municipalité du café et des crêpes. Ce sera l'occasion de nous rencontrer et d'adhérer pour l'année 2015/2016.
L'association assure le fonctionnement du centre nutritionnel de Goundam au Mali, anime les ateliers d'art floral, aide des familles bréalaises à la demande de l'assistante sociale et souhaite lancer de nouvelles actions sur le plan local: partage de compétences, solidarité entre bréalais, rencontres conviviales, achats groupés ...
Parlez en autour de vous et faites nous partager vos idées en nous écrivant.
A très bientôt

jeudi 9 juillet 2015

nouvelles de Goundam juin 2015


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Le Haut commissariat aux réfugiés (HCR), en collaboration avec l’ONG Stop-Sahel, apporte aide et assistance à ces populations qui sont pour la plupart des ressortissants des communes de Bintagoungou, M’Bouna, Tin-Aicha, Essakane. Ils fuient les violences, les menaces, la faim, la soif, abandonnant tout derrière eux.
Ce sont les récentes attaques, enlèvements, pillages, assassinats perpétrés par les groupes armés à la veille de la signature de l’accord de paix, qui ont poussé ces populations à trouver refuge à Goundam et Tonka où les forces de sécurité empêchent les bandits de s’en prendre aux civils. La folie destructrice de ces bandits n’épargne pas les réseaux de distribution d’eau, les panneaux solaires qui alimentent les localités en électricité. Le vol de ces équipements est d’ailleurs devenu une pratique courante.
Le flot des déplacés ne tarit pas. Les gens continuent de fuir vers les zones sécurisées. Certains déplacés livrent des témoignages ahurissants. Les agresseurs leur retirent leurs provisions de nourriture et d’eau. Souvent, ils vont jusqu’à confisquer les repas prêts à être servis. Impuissants à se défendre contre des individus lourdement armés, les villageois n’ont d’autre choix de fuir pour éviter de mourir de faim dans des localités isolées.
Pour assister ces personnes qui en ont véritablement besoin, l’organisme onusien d’aide humanitaire appuie l’ONG Stop Sahel pour effectuer des distributions gratuites de non vivres notamment des bâches, des batteries de cuisine, des couvertures, des bidons d’eau, des moustiquaires. Le nombre total de bénéficiaires à Tonka s’élève à 3116 personnes, membres de 401 ménages. A Goundam, 330 ménages ont été identifiés pour 2352 bénéficiaires : 1124 femmes et 1228 hommes.
Les déplacés ont aussi reçu l’aide du Programme alimentaire mondial (PAM) qui a distribué des biscuits puis des rations alimentaires pour un mois. Dans le cadre d’une synergie d’action, l’ONG Catholic relief service a mis à disposition 34 pièces de savon.
La cérémonie de distribution s’est déroulée la semaine dernière à Goundam en présence des maires des différentes localités concernées. Le représentant du coordinateur de l’ONG Stop-Sahel à Tombouctou et le président du conseil de cercle de Goundam ont procédé à la remise symbolique des lots.

vendredi 5 juin 2015

Assemblée générale du 2 juin 2015

Compte -rendu de l'assemblée générale du 2 juin 2015
29 personnes présentes dont Mr Heberle représentant de la municipalité et Maddie et Pierre Yves de Pacé Solidarité.
Trois personnes excusées : Marie Pierre Bohuon, Madame Le Moellic assistante sociale et Maryvonne Richaudeau.
Rapport moral de l'année 2014:
L'association a organisé un repas exotique, a participé à la décoration de l'exposition ombres et lumières, à l'opération bol de riz à l'école Jeanne d'Arc,au café le jour du forum des associations, à la collecte des restaus du cœur, à la collecte de la banque alimentaire, à la projection d'un film à la bobine, aux aides d'urgence à la demande de l'assistante sociale du secteur. Depuis la mise en place des TAP, l'atelier plaisir de lire a disparu.
De plus, elle finance le centre nutritionnel de Goundam au Mali et aide à l'achat de médicaments.
Le rapport moral et le bilan des activités sont approuvés à l'unanimité.
Rapport financier :
Il est distribué aux personnes présentes et approuvé à l'unanimité.
En 2015, l'association versera 220€ par mois pour le centre nutritionnel.
Point sur la situation au Mali
Maddie a eu une communication téléphonique il y a quelques jours. Les routes sont coupées avec les grandes villes, il y a des réfugiés venus des zones de guerre, des pharmacies privées profitent de la situattion pour vendre plus cher les médicaments.
Projets
Pour asuurer le fonctionnement du centre nutritionnel, il faudrait inciter les donateurs à faire des versements réguliers par mois ou par trimestre.
Il faut que l'association se fasse davantage connaître pour ses actions ici et au Mali. On pourrait envisager une exposition à la médiathèque.
La discussion sur la définition de la solidarité permet à chacun d'exprimer ses souhaits et ses envies pour cette association.
L'écriture de l'historique de l'association va se poursuivre,
Elections du conseil d'administration
Tous les membres précédents ayant démissionné, 9 personnes se présentent et sont élues à l'unanimité
Martine Dolo, Mimi Queguiner, Marylène Geffroy, Marie Thérèse Legeas, Marie Hélène Macé, Marie Annick Nicolas, Nicole Costiou, Béatrice Makdad, Martine Eléouet
Election du bureau
Présidente : Martine Eléouet
Trésorière Martine Dolo
Trésorière adjointe : Marie Thérèse Legeas